A lire ou écouter en anglais sur https://pilotworkshop.com/tips/when-to-stop-for-fuel/
Traduction Google
« Voici ma principale règle de base : si vous êtes dans les airs et que vous vous inquiétez de votre quantité de carburant, atterrissez et récupérez du carburant. Je pense que très peu de gens sont tombés en panne de carburant par surprise, donc si cela commence à devenir un problème pendant le vol, réparez-le.
Une configuration très courante pour un problème de carburant consiste à planifier un long vol avec l’idée de s’arrêter environ une heure avant la destination. En route, nous constatons que les vents sont un peu meilleurs que prévu et que les jauges de carburant semblent un peu meilleures que prévu, et que personne n’est obligé d’utiliser les toilettes. Alors pourquoi ne pas continuer ? L’envie de continuer à pousser est très forte dans cette situation et tend à influencer le jugement du pilote. Ce serait certainement amusant de dire à mes amis que nous sommes arrivés sans escale jusqu’à… presque l’aéroport de destination.
Au lieu de cela, pourquoi ne pas prévoir un arrêt à mi-parcours ? Cela élimine la tentation d’essayer cette nouvelle tentative de record imprévue, et c’est de toute façon meilleur pour votre corps.
Un autre scénario d’accident de carburant se produit lorsqu’un pilote arrive dans un aéroport rural avec une pénurie de carburant parce qu’il a entendu dire que cet endroit propose des prix avantageux. Seul problème : ils sont fermés ou en panne de carburant. Maintenant quoi? Ceux qui décollent se retrouvent généralement à environ cinq miles du prochain aéroport qui a réellement du carburant.
Ne laissez jamais l’attrait d’un carburant moins cher vous inciter à devenir l’un de ces 100 pilotes qui manqueront de carburant cette année.
Voici quelques éléments à prendre en compte lors de l’établissement d’un carburant minimum. Tout d’abord, quelle est la précision de votre numéro de carburant initial ? Le sommet de l’avion est-il dégagé jusqu’au goulot de remplissage ou est-il descendu d’un pouce ou deux ? Si vous ne savez pas avec quelle quantité de carburant vous devez commencer, vous ne saurez pas quand vous serez absent.
Deuxièmement, connaissez-vous bien votre avion ? Est-ce que ça brûle plus ou moins qu’un livre ? Ensuite, quelle est la fiabilité de la disponibilité du carburant à votre prochain arrêt. Et puis, bien sûr, il y a les facteurs liés au vent et à la météo.
Mon minimum personnel pour un vol VFR de jour dans l’avion que je possède (Mooney) est de 1,5 heure. IFR ou nuit ? Deux heures. Mais, revenons à mon premier commentaire, si je commence à m’inquiéter de quelque manière que ce soit de ma situation en matière de carburant, je vais atterrir et éliminer cette inquiétude.
Parfois, il est logique d’ajuster un arrêt de carburant pour permettre une étape plus longue. Voir un exemple d’évaluation de cette décision en vol dans « Private Pilot: The Missing Lessons ».