Longtemps préservée, l’aéronautique connaît ses premières alertes sur le front de l’emploi. Si la production est en plein essor, l’ingénierie aéronautique va devoir gérer la fin des grands programmes de développement d’Airbus.
Les bureaux d’études du groupe et les sociétés d’ingénierie de l’agglomération toulousaine ont embauché des milliers d’ingénieurs pour réaliser trois avions en une dizaine d’années :
- l’A380,
- l’A400M
- et le long courrier A350-900, qui entrera en service fin 2014.
Reste bien sûr à développer les versions A350-1000 et 800, l’A320 NEO, doté de moteurs plus économes, et l’A330 régional, une version allégée. Mais ces évolutions nécessiteront moins d’ingénierie.
Extrait du journal « Les Echos »