https://pilotworkshop.com/tips/high-terrain-departure/
Traduction Google
Question de l’abonné :
« J’ai été invité à un vol dans une communauté aéroportuaire privée. La piste est assez longue, mais il y a du terrain ascendant tout autour de l’aéroport. Ce n’est pas montagneux selon les normes de la plupart des gens, mais cela me rend nerveux. Avez-vous des conseils pour un aéroport « dans le trou » ? » -Russell C.
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Wally :
« L’incertitude quant à votre capacité à sortir d’un aéroport en plein trou n’est pas quelque chose dont nous avons besoin dans le cadre de nos vols.
La première et simple réponse est bien sûr de consulter votre Pilots Operating Handbook, mais cela ne nous donne pas nécessairement la réponse à cette question. Bien sûr, il vous indiquera la longueur de piste dont vous avez besoin pour franchir cet obstacle mythique de 50 pieds, mais ce n’est pas votre problème. Votre problème est le terrain environnant et vous vous demandez si vous allez le nettoyer.
Parfois, les POH peuvent être d’une petite aide car certains d’entre eux vous donnent le taux de montée à différentes altitudes-densités. Si vous disposez de ces informations, vous pouvez alors faire un petit travail avec votre traceur et déterminer certaines altitudes par rapport aux distances. N’oubliez pas d’utiliser des chiffres conservateurs. N’oubliez pas que les numéros de ces constructeurs concernaient un nouvel avion. Si aucun n’est indiqué, vous devez faire attention à votre avion et enregistrer ses performances dans diverses conditions.
La question suivante est : quelle vitesse devrions-nous utiliser ? Le meilleur angle de montée, la vitesse anémométrique est la vitesse qui nous donnera le plus d’altitude pour la moindre distance parcourue, donc si franchir un obstacle est notre problème, le meilleur angle est la vitesse à utiliser.
La manière de manœuvrer est difficile car elle varie selon la situation, mais il existe quelques règles générales. N’oubliez pas que notre objectif est de grimper le plus haut possible sur le moins de distance parcourue. Ainsi, toute manœuvre qui nous pointe face au vent nous donnera une plus grande montée par mile. Naturellement, un vent favorable aura l’effet inverse. Une prudence ici est de grimper face à un vent contraire vers une crête ou un sommet élevé, il y aura probablement un fort courant descendant à mesure que vous vous en approcherez. Cela a été la cause de nombreux accidents. À l’inverse, l’approche d’une crête ou d’un sommet avec un vent arrière entraînera généralement un courant ascendant à mesure que vous vous approcherez de la crête. Encore une fois, une mise en garde : travailler avec ce type de courant ascendant demande des compétences et de la formation.
Approchez-vous toujours d’une crête en biais afin de pouvoir facilement faire demi-tour si nécessaire.
Il peut être nécessaire de tourner pour rester à l’écart des hauteurs, mais n’oubliez pas que tourner réduira votre taux de montée.
Mon meilleur conseil pour entrer et sortir des aéroports in-the-hole est de parler aux locaux et de suivre une formation spécifique au vol en montagne. Il existe de nombreux endroits qui offrent cette formation spécialisée. En attendant, n’atterrissez pas dans ce type d’aéroports.
Voici une procédure IFR que vous pouvez emprunter au départ d’un aéroport entouré de terrains plus élevés.