• Au sujet de la sécurité, l’aviation de loisir doit être gérée séparément de l’aviation commerciale et ceci avec un minimum de règles (“soft law”)
• Des données de qualité sur les accidents doivent être collectées afin d’en tirer les tendances significatives.
• la bureaucratie et les règles, ainsi que les coûts qui en découlent, doivent être réduits au minimum.
• Une surrèglementation doit être évitée. Si possible, prévoir des alternatives aux règles, y compris l’option “ne rien faire”
• Utiliser l’expertise présente dans les fédérations concernées, leur faire confiance, mieux les impliquer et leur transférer certaines tâches dans un esprit de partnership (“Give the right privileges to approved organisations”)
• Pour l’établissement des règles, partir d’une feuille vierge, au lieu de se baser sur les règles existantes qui sont principalement établies pour l’aviation commerciale.
• Plus de clarté dans la législation et éviter les ambiguïtés
• En matière de politique de sécurité, stimuler les groupes concernés à collecter eux-mêmes les informations pertinentes
• Prévoir des licences de vol avec des compétences spécifiques (exemples : voler avec des machines plus complexes, vol en montagne, navigations dans les zones contrôlées,…)
• Permettre la possibilité de faire des vols à frais partagés et permettre les vols d’initiation, qu’ils soient rémunérés ou non (ce qui n’est pas permis actuellement), tout en n’étant plus considérés comme des activités commerciales.
• Utiliser les standards industriels pour la validation des pièces d’aviation et les instruments