Mis en ligne et réactualisé en juin dernier sur le site de l’European Microlight Federation (EMF), un document fait le point sur les différences d’exigences entre les pays au niveau de l’accueil des ULM – l’Irlande se distingue ainsi en ne reconnaissant pas les licences ULM des autres pays européens… Chaque pays ayant ses propres documents pour les licences de pilotes et les fiches d’identification des machines, le passage des frontières impose une autorisation des autorités nationales du pays. L’EMF sait que de nombreux ulmistes traversent les frontières sans cette autorisation mais elle attire l’attention sur les risques juridiques en cas d’incident, accident ou contrôle au sol. Certains pays exigent un certificat de radiotéléphonie, un transpondeur, une balise de détresse ou un certificat d’assurance avec un minimum déterminé…
Fiche par fiche, avec l’autorisation exigée ou non, les coordonnées de l’Aviation civile et de la fédération ou du club national gérant les ULM, sans oublier quelques informations pratiques ou réglementaires spécifiques au pays, chaque état est ensuite passé en revue même si certaines fiches sont un peu vides faute d’informations. Le tout peut servir de base pour une préparation d’un vol à l’étranger. Son passés en revue les pays suivants : Autriche, Belgique, Bosnie-Herzégovine, Bulgarie, Croatie, Chypre, Danemark, Espagne, Estonie, Finlande, Grande-Bretagne, ancienne république de Macédoine, Allemagne, Grèce, Hongrie, Islande, Irlande, Italie, Latvie (Lettonie) , Liechtenstein, Lituanie, Luxembourg, Malte, Monaco, Pays-Bas, Norvège, Pologne, Portugal, République tchèque, Roumanie, San Marin, Serbie et Monténégro, Slovaquie, Slovénie, Suède, Suisse (c’est nooonn !) et Turquie.
Le document est téléchargeable à l’adresse suivante :
www.emf.nanco.no/Flying_over_Europe/MLA_flying_in_Europe.pdf
Source: via le blog www.pilotermag.com !
Voyager en ULM en Europe
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